Philippe Beucké
Pas sans Lacan… mais encore

 

Pas sans Lacan… mais encore
Ouverture de la journée clinique du 12 mars 2016

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Certains événements me forcent à être absent aujourd’hui. Je suis profondément triste et je tiens à remercier ceux et celles qui vont intervenir dans cette journée et qui ont répondu favorablement à cette demande.

Pourrions-nous penser la psychanalyse sans Lacan, alors que celui-ci est le second fondateur de notre discipline ? « Passant » dans l’œuvre de Lacan, c’est espérer que dans notre lecture et notre transmission puissent se produire des effets analytiques. C’est là le sens du « mais encore », un au-delà de ce qu’il faudrait penser qui serait juste le discours universitaire, nécessaire mais pas suffisant, pour en produire de l’analytique. Je pense là à la lecture que nous fit il y a de cela plusieurs années Olivier Grignon.

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Ouverture de la journée clinique du 12 mars