À quoi consent-on ? À l’impossible ? À ce qui ne cesse pas de ne pas s’écrire ?
Le réel nous bouscule, le symbolique nous apprivoise et l’imaginaire nourrit nos étourderies.
Les incivilités font leur loi qui peut faire du sexuel une torture. Le « dire que non » aux abus ouvre-t-il à l’éventualité d’une réconciliation ?
Et si la trêve était occasion, sinon de pardon, au moins d’apaisement du ressentiment ?

En s’appuyant sur l’ouvrage de Vanessa Springora, Le consentement, on tâchera de démêler ce qui procède de l’abus et ce qui s’impose
comme obéissance hypnotisée.